Le blog de chloé sexy
qui suce bien, aime bien !
oui c'est vrai
Obligé de me travestir pour fréquenter ma copine :
J’avais 22 ans à l’époque et la jolie Karen, juste 15. Bien sur, je savais que j’étais trop vieux pour elle mais elle était si jolie que j’aurais fait n’importe quoi pour elle.
Malheureusement, si pour ma part mes parents se désintéressaient de ce que je pouvais faire, ce n’était pas le cas de son père, un géant, à mes yeux, qui en imposait à tout le monde. On arrivait
parfois à se retrouver mais ce n’était toujours que fugacement au Centre Commercial ou derrière sa maison, pour quelques minutes. Il fallait trouver une solution ou renoncer à notre amour ! C’est
Karen qui eut la brillante idée qui m’entraîna ensuite à un changement radical de ma vie !
Son idée venait suite à un reportage à la Télé concernant les hommes qui se faisaient passer pour des femmes, on les appelle des « travestis ». Karen en avait déduit de ma silhouette élancée et
de mes cheveux longs que je pourrais passer aisément pour une femme
-« Tu te rends compte, mon amour, tu pourras même venir chez moi, dans ma chambre et on pourrait, si mes parents sont confiants, dormir ensemble ! ».
Je n’étais pas chaud du tout mais cette perspective ne pouvait que m’enchanter. Une semaine après, j’acceptais le sac que me donna Karen, contenant des affaires à mettre et du maquillage avec un
petit mode d’emploi.
Enfermé dans ma chambre, tranquille car mes parents étaient plus intéressé par la télé et la bouteille que par leur fils, j’entrepris de m’habiller, ce qui ne fut pas trop difficile, par contre
le maquillage me donna du fil à retordre car je dus m’y prendre à plusieurs reprises. Une fois satisfait, mes cheveux remontant en une charmante et longue queue de cheval, ne ressemblant pas trop
à un clown, je me nettoyais, comptant m’exercer ainsi plusieurs jours de suite. Je mis au courant ma chère Karen qui sauta de joie devant mes efforts pour lui plaire.
J’ai tenu parole surtout au niveau maquillage car je n’étais pas trop satisfait de moi et ma nature me poussait à faire toujours les choses comme il fallait les faire. Le jour où je sombrai plus
loin dans le travestissement fut un samedi avec les parents de Karen qui seraient absents pour l’après midi. Ce jour là, en tremblant je frappais à la porte, mon petit sac à la main. Ouf, ce fut
bien Karen qui m’ouvrit. On entra directement dans sa chambre après un petit baiser et elle me prit en main. En quelques minutes, son maquillage fut cent fois plus beau que le mien et avec un peu
de gel, elle fit gonfler superbement mes cheveux. Je n’en revenais pas et une fois les vêtements enfilés, j’étais vraiment devenue une copine et non plus le petit ami ! Daniel était devenu
Danielle !
L’après midi fut très agréable, à discuter de tout et de rien, devant la télé dans le salon. Je ne vis pas le temps passer et pris conscience de l’heure en entendant une clé tourner dans la
serrure !
-« Oh merde ! Il faut que je file dans la chambre ! ». Elle me rattrapa calmement par la manche et me refit asseoir à coté d’elle.
-« Détends-toi ! N’oublie pas que tu es Danielle, ma copine. C’est l’instant où jamais de savoir si on pourra être heureux. Reste tranquille et laisse moi parler ! »
C’était trop tard pour acquérir plus d’expérience.
-"Salut papa, maman ! Je vous présente Danielle. On fréquente la même salle de gym ». Sa mère fut la première à prendre la parole :
-« Bonjour Danielle. Très contente de voir enfin une amie de ma fille, elle n’en a pas vraiment beaucoup. Karen, j’espère que tu lui as offert à boire ? »
-« Bien sur maman mais elle doit partir maintenant, il se fait tard »
-« C’est vrai, je suis en retard ! » J’ai essayé de prendre une voix douce et féminine
-« Mais non voyons, insista sa mère, il est tard justement et nous avons un délicieux ragoût qui nous attend. Danielle, je vous en prie, vous pouvez téléphoner à vos parents si vous voulez ! ».
Je regardais Karen avec de la terreur dans les yeux mais, celle-ci, imperturbable répondit :
-« Oh oui maman, c’est une bonne idée ! »
Je venais de comprendre que j’étais obligé d’accepter l’offre sinon je me ferais mal voir.
-« Alors c’est décidé, mettez la table les filles ! ».
Je m’en suis bien sorti, je faisais le délicat, poli et réservé et une fois le café avalé, je me dépêchais de me lever pour rentrer chez moi. Malheureusement, j’avais oublié que je ne pouvais pas
me changer dans la chambre. Je remontais donc brièvement pour prendre un petit sac à main que Karen me prêta, en y mettant l’intérieur de mes poches de garçon. Mieux encore, la mère insista
lourdement pour me faire raccompagner par le père ! Comment allais-je faire pour rentrer ? Pendant qu’il me conduisait chez moi, je réfléchissais à la situation. Normalement, mes parents seront
avachis devant la télé et si je fais bien les choses en fonçant dans l’escalier, je devrais pouvoir m’en sortir. Pourvu que le père de Karen ne décide pas de vouloir faire des excuses pour mon
retard ! Ce serait le comble !
En vérité, tout se passa bien. Je franchis d’un bond la porte, je monte quatre à quatre les escaliers en criant « Bonne nuit » et ça y est, je suis chez moi dans ma chambre. Je pouvais souffler
et j’en profiter pour me regarder attentivement dans le grand miroir. Incontestablement, j’étais une jolie fille et les petits talons des chaussures me faisaient de belles gambettes. Je m’amusais
à faire des petites révérences qui faisaient tomber mes cheveux sur le devant, cela me donnait un air romantique. Machinalement, je repris le tube de rouge à lèvre et me remis une couche.
J’aimais bien le goût et cela me donnait une bouche pulpeuse.
Découverte de mon travestissement et ses conséquences :
Apres cette première soirée, il n’y avait plus d’obstacle à notre amour et je multipliais les visites à sa maison. Ma garde robe s’était depuis beaucoup étoffée car une jeune fille se doit de ne
pas porter d’un jour sur l’autre les mêmes vêtements. Toutes mes maigres économies y passèrent mais j’y prenais de plus en plus plaisir. Parfois, lorsque mes parents étaient absents, je partais
de chez moi tout habillé, parfois je me changeais dans une maison abandonnée ou un chantier mais je n’hésitais plus à marcher dans la rue avec ma robe qui me caressait les jambes, faisant
résonner mes talons de plus en plus hauts et laissant ma queue de cheval me fouetter la joue au rythme de mes pas ou de mes mouvements de tête. Maintenant, j’entrais dans le sanctuaire de Karen
sans qu’aucun doute n’effleure les parents. Là, on s’amusait à se dévêtir et à se prêter des vêtements, ce qui me donnait l’occasion d’ad
Ohhhhhhhma putain de chérie adorée, vite prends tout ce jus de couilles qui s'écoule de ce gland et je vais t'embrasser pour que nos langues baignent dans ce jus avant que je l'avale.
Bisesssssssss de ta catin Jeanne